Analyse des pensées économiques d’Imam Hassan Al-Askari (a.s) selon son éminence.

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Analyse des pensées économiques d’Imam Hassan Al-Askari (a.s) selon son éminence.

Répartition inégale des richesse, Aggravation de la pauvreté et le fossé entre les classes sociales/ L’interdiction du gaspillage et la promotion de la réforme du modèle de consommation/ Avarice ou suffisance/ La modération dans les attributs humains : Qui sont les vrais chiites ?

L’importance accordée par l’islam aux questions financières et économiques est incontestable.[1] C’est pour cette raison que le système économique islamique est bien coordonné, de sorte que s’il est applique dans l’ensemble du monde islamique et d’autre sociétés humaines, on assistera plus à la pauvreté et à l’indigence.[2]

Au sein des imams infaillibles, l’explications précise du système économique de l’islam apparait clairement dans le but de remédier à la pauvreté et diminuer le creuset entre les classe sociales.[3] C’est un plan stratégique qui d’une part rappelle au peuple et aux opérateurs économiques la nécessité de multiplier des efforts pour l’accroissement des activités économiques, l’élévation du système économique de l’islam et le développement économique,[4] et d’autre part sert d’obstacle à la convoitise, la cupidité et l’amour des biens du bas-monde comme but ultime.[5]

Après cette interprétation et à l’orée de la commémoration de l’anniversaire du décès de l’imam Hassan Al-Askari, l’analyse des pensées économiques de cet imam nous permet de présenter brièvement l’économie islamique dans un cadre théorique.[6]

Répartition inégale des richesse et aggravation de la pauvreté et le fossé entre les classes sociales

La pauvreté et l’inégalité dans la répartition des richesses demeurent des problèmes qui ont miné les sociétés humaines tout au long de l’histoire et continuent d’ailleurs à gangrener les nations jusqu’au aujourd’hui. Au cours de l’histoire les richesses du monde n’ont pas été équitablement réparties.[7]

Cette crise remonte au moment où les pays développés ont mis la justice de côté pour faire valoir un progrès et un développement dépourvu de règles humaines. Raison pour laquelle d’énormes richesses sont concentrées entre les mains d’une infime minorité et d’un groupe particulier,[8] de sorte qu’on constate clairement un grand écart entre les classes sociales, parce que la thésaurisation des richesse, la cupidité et la convoitise sont des choses que les plus richesses n’abandonnent pas aussi facilement.[9]

Ainsi, pour amasser et accumuler les richesses, les Etats occidentaux font taire la moindre quête de justice et emploient en cas de besoin les moyens militaires pour combattre les pauvres et ceux qui luttent pour la justice et l’égalité, tout cela pour accroitre l’économie des cartels et des trusts au détriment des masses populaires.[10]

Cette tragédie universelle continue, pourtant l’islam a combiné la morale à l’économie et à travers les interdiction et les obligations morales sur le plan économiques, il a pratiquement fermé les portes de la production inégale des richesses qui engendre la répartition inéquitable des biens, afin de favoriser la juste distribution des biens et richesses entre les classes.[11]Ainsi, les besoins élémentaires de chaque individu tels que l’alimentation, l’habillement, le logement, l’instruction et la santé soient garantis.[12]

Les hadiths et les textes rapportés estiment que les indicatifs d’une société islamique convenable se manifestent par l’éradication et la disparition de la pauvreté dans une société,[13] une chose qui n’est possible que si les richesses sont équitablement reparties et les hommes éduqués aux vertus sublimes.[14]

Il n’y a aucun doute que cette conviction et cette aspiration ne sont pas juste une déclaration creuse, un slogan, une parole sensationnelle ou un poème. Il s’agit en réalité du message des hadiths qui décèlent les problèmes.[15] Il est rapporté de l’imam Hassan al-Askari (a.s) :

« أغنياءهم يسرقون زاد الفقراء » « Leurs richesses dérobent les provisions des pauvres »[16],[17]

De ce hadith on retient que la présence des pauvres et des indigents dans une société découle des injustices instaurées par les riches de cette société.[18] Puisque la concentration des richesses entre les mains des nantis est généralement accompagnée d’exactions et d’injustice à l’égard des pauvres et des indigents.[19]

Outre, l’hostilité et la rigoureuse lutte de l’islam contre la pauvreté – qui apparait dans le hadith d’imam al-Askari – reposent sur le rejet de la thésaurisation des richesses. De la même manière que l’islam lutte contre la pauvreté, il condamne également la conception de la richesse en tant qu’une fin. Mais, si la richesse est considérée comme un moyen, l’islam apprécie et respecte cette quête, c’est-à-dire, une richesse acquise sainement grâce aux services rendus à la société (production, distribution, prestation de service).[20]

Il faut rappeler que malgré l’air de suffisance et la dissimulation des besoins que les pauvres et les indigents devraient afficher face aux riches, il n’y a aucune contradiction avec les efforts quel es riches sont appeler à fournir pour identifier au sein de la société les personnes réellement dans le besoin et combler leurs désirs. Un riche croyant doit chercher à connaitre les gens qui sont dans le besoin pour le satisfaire en tout respect et dignité.[21]

Par ailleurs beaucoup de programmes et de planifications tels que le Khoms, la Zakat, les dons impératifs, les donations, les actions caritatives en vogue dans la culture islamique grâce à l’esprit de préférence, l’honnêteté, l’altruisme, la solidarité, représentent des mécanismes de distribution des richesses mise en place par l’islam pour l’équité économique sociale et la diminution des différences entre les classes sociales.[22]

Interdiction du gaspillage et recommandation pour l’amélioration du model de consommation.

Le contrôle islamique conforme sur la consommation repose sur le respect du principe de l’interdiction du gaspillage.[1] L’islam ne permet pas aux membres de la société de gaspiller les biens et richesses. Raison pour laquelle le principe de « Dieu est le propriétaire » leur impose d’orienter leurs biens dans des voies correctes et ordonnées par Dieu.[2]. Ainsi, les détenteurs de richesses n’ont de choix que de toujours orienter le surplus de leurs revenus vers le développement des activités économique, c’est-à-dire mettre obligatoirement cela au service du travail car le résultat direct sera mis à la disposition de la société et du peuple et l’unique effort qui repose sur les épaules de leurs détenteurs n’est rien d’autre que sa conservation et sa gestion.[3]

D’un autre côté, nous constatons que le capitalisme encourage beaucoup la culture de la consommation à travers de vastes publicités, tout cela pour s’attirer plus de revenus, alors que l’islam interdit le gaspillage.[4]

Gaspiller signifie consommer de manière irréfléchie et sans modération et sans constater de diminution apparente. Par exemple, préparer beaucoup de nourriture chère pour quelques personnes en dépensant le prix qui pouvait servir à nourrir des dizaines de personnes.[5]

Sans aucun doute, s’il faut battre le tambour de la consommation sur la base de la culture de n’économie de marché et faire régner absolument les désirs et les penchants de l’homme, les productions d’un pays ne pourront même pas satisfaire les appétits insatiables même d’un groupe, combien de fois toutes les personnes de la société. Voilà pourquoi il faut intervenir pour interdit le gaspillage afin de contrôler et orienter la consommation et maintenir l’équilibre entre la consommation et la production.[6]

Dons, « le gaspillage » dans la vie des hommes et des croyants en particulier est considérée comme une contre-valeur et du point de vue de la religion il fait partie des interdictions. Cela a toujours été prohibé et la logique de la religion et de la raison saine le blâment.[7]

Tellement le gaspillage est condamné qu’il est considéré dans les traditions comme « un acte de Satan » ; En effet, dans la rayonnante parole dans laquelle imam Haasan al Askari s’adresse à l’un de ses amis il déclare au sujet du gaspillage :

« وعليك بالاقتصاد وإيّاك والإسراف فإنّه من فعل الشيطنة »

« Je te recommande d’être économe et évite le gaspillage car le gaspillage est un acte de satan »[8],[9]

Si on médite un peu la parole de l’imam on va réaliser que le gaspillage est une forme d’ingratitude de la même manière que Satan s’est montré ingrat vis-à-vis des bienfaits de Dieu. En versant et en dilapidant les biens, les gaspilleurs se montrent ingrats avec les richesses divines ; Or, l’un des principes de l’économie dans le monde d’aujourd’hui qui encourage de diverses manières la consommation exagérée allant même par s’entourer des objets et accessoires inutiles ou peu utile.[10]

Cupidité ou suffisance

La suffisance est le contraire de la cupidité et on peut comprendre le sens de l’un en le confrontant à l’autre. On dit qu’un homme qu’il est cupide lorsqu’il a suffisamment et proportionnellement les biens susceptibles de satisfaire ses besoins matériels, mais son esprit nage encore dans la pauvreté et a famine. Ainsi sans aucune raison il est en perpétuelle quête de thésaurisation maximale de biens, d’exclusivité stupide et même de l’accaparement de la part et du droit des autres.[11]

Le cupide arrive parfois à un niveau critique de l’avarice au point de sacrifier tout son sommeil, son repos y compris sa morale et sa foi pour amasser plus de richesses possibles par n’importe quelle voie.[12] Et ce même s’il faut ignorer les normes islamiques, les us et coutumes et le droit des autres. Cela est désigné dans les traditions par « ivresse de la richesse »[13] Ainsi d’une coté l’homme se tourne vers le gaspillage et l’opulence et de l’autre il se montre avare et n’arrive pas à s’acquitter les droits financiers obligatoires.[14]

Par ailleurs, on dit de quelqu’un qu’il se suffit lorsque règne une harmonie entre son corps et son âme. Il n’affiche pas une cupidité sans raison, il ne s’en prend pas aux droits des autres, il fait preuve de modération dans la quête de bien et l’acquisition d richesse. C’est-à-dire dans la recherche des biens et du pain quotidien, il ne viole pas les normes et n’abandonne pas les obligations religieuses.[15]

Malheureusement, certains accordent tellement d’importance aux richesses qu’ils pensent que les biens matériels résolvent tous les problèmes au point de ne faire aucune différence entre bien licite et bien illicite.[16]

De l’autre côté on a un groupe qui n’accorde pas la plus petite valeur aux biens et aux richesses qu’ils jugent nuisibles à la foi et au rapprochement vers Dieu.[17]

Face à ces deux idées extrêmes et exagérées, le saint coran et les traditions islamiques montrent que les biens et les richesses sont appréciables tant qu’ils sont pris comme un « moyen » et non un « but ». Une richesse qui n’emprisonne pas l’être humain mais qui fait de lui un être noble et des biens acquis licitement et dépensés dans la voie de l’agrément de Dieu.[18]

Ainsi, on comprend bien le sens de la suffisance, c’est-à-dire la modération dans la vie et l’éloignement de la cupidité. En clair, l’homme ne doit pas se montrer gaspilleur et dépensier, il ne doit non plus se montrer austère et chiche.[19]

Nous lisons dans un hadith d’imam Hassan Askari à ce sujet :

« للاقتصاد مقداراً فَانْ زاد عليه فهوبُخْل »[20]

« L’économie se caractérise par une limite et une mesure. En cas de surplus ou d’exagération on nage dans la cupidité »[21] Il faut ne faut descendre en dessous de la suffisance car aller en dessous aboutit à l’avarice.[22]

La combinaison de ces vices moraux avec les problèmes économiques représente l’une des causes de la pauvreté dans le tiers-monde et de l’augmentation des différences entre les nations sous développées et les nations capitalistes.[23]

Or, le coran condamne l’avarice dans le don et les dépenses :

« هَا أَنْتُمْ هَؤُلَاءِ تُدْعَوْنَ لِتُنفِقُوا فِى سَبِيلِ اللَّهِ فَمِنْكُمْ مَّنْ يَبْخَلُ وَمَنْ يَبْخَلْ فَإِنَّمَا يَبْخَلُ عَنْ نَّفْسِهِ »[24]

« Vous êtes le groupe que lorsqu’on vous invite à faire généreusement don pour la cause de Dieu certains d’entre vous se montrent chiches. Quiconque se montre avare le fait à son détriment »[25]

Il n’y a aucun doute que l’avarice est mauvaise car elle suscite le mépris vis-à-vis de l’avare. Les gens de près ou de loin prennent leur distance de cette personne. Les avares imposent l’austérité non justifiée à leurs femmes et leurs enfants au point qu’ils souhaitent sa mort. C’est une honte. A cause de l’attachement irrationnel aux biens et aux richesses, l’avare parait faible et incapable du point de vue pensée sociale. Et c’est aussi une chose honteuse.[26]

La limite de la modération dans les attributs de l’être humain

La générosité est la limite entre la modération, l’avarice et le gaspillage. Comme le dit bien le saint coran s’adressant au noble prophète :

« وَلا تَجْعَلْ يَدَكَ مَغْلُولَةً إِلى عُنُقِكَ وَلا تَبْسُطْها كُلَّ الْبَسْطِ فَتَقْعُدَ مَلُوماً مَحْسُوراً »[27]

«N’attache jamais tes mains autour du cou (n’abandonne pas le don généreux) et n’ouvre non plus exagérément les mains pour ne pas subir de blâme »[28]

Ce verset est une expression métaphorique qui indique qu’il faut avoir une main généreuse et ne pas être aussi avare comme si les mains étaient attachées au cou sans aucune possibilité d’aider les autres. D’un autre coté il ne faut pas aussi être exagérément généreux, cela peut entrainer des déficits et qu’on se retrouve blâmer et séparer du peuple.[29]

Imam Hassan Askari ajoute :

« إنَّ لِلسَّخاءِ مِقدارا فَإن زادَ عَلَیهِ فَهُوَ سَرَفٌ »[30]

« Le généreux a une limite, s’il la dépasse il se retrouve dans le gaspillage »[31]

La déclaration de l’imam al Askari recommande la modération dans la générosité et la nécessite d’éviter toute forme d’exagération. Telle est la réalité de l’attribut de celui qui est généreux.[32]

A l’image des autres bons actes de l’être humain, la générosité a une limite, si elle est dépassée le résultat sera plutôt négatif. En effet, le généreux ne doit pas perturber la dignité et la vie de ceux qui sont sous sa responsabilité.[33]

Si on exagère dans la générosité, et que toutes les forces et les capacités de l’homme sont investies dans ce sens, il est tout à fait normal qu’on se retrouve incapable de continuer les activités ou coordonner sa vie. On se retrouvera dépouillé, plongé dans l’affliction et cela bien évidemment conduit à la rupture des relations avec les gens.[34]

L’excès de générosité empêche l’homme de continuer à mener les activités indispensables à la vie. Il laisse facilement la voie libre aux autres pour qu’ils le blâment.[35] [36] Raison pour laquelle il ne faut pas oublier l’ordre de respecter la modération là où l’excès de générosité entraine de sérieuse perturbations dans la vie de l’homme. Et comme on le dit il se retrouve dans les rangs des blâmés.[37]

Le sens du sacrifice ne doit pas perturber la vie des enfants ou imposer une pression sur la famille. Et si aucun de ces cas n’arrive, alors le sens du sacrifice représente l’un des meilleur moyen.[38]

Mise à part cela, l’observation de la modération est une règle générale et le sens du sacrifice est une règle particulière qui repose sur un cas bien déterminer, raison pour laquelle il n’existe pas contradiction entre les feux jugement.[39]

Certes, beaucoup de gens ne font pas trop de dons généreux. Alors, ils n’ont pas vraiment besoin de conseil dans ce sens. Mais, ils sont pris au piège de l’avarice et du refus de faire don. Leur cœur et leurs mains vibrent quand ils donnent un peu. Selon ce hadith d’imam al Askari, l’islam n’encourage ni l’avarice, ni l’exagération dans le don. Il faut respecter le juste milieu.[40]

Conclusion : qui sont les vrais chiites ?

Prétendre être chiites est très facile au point de s’imaginer qu’à travers les prières et les invocations nous pouvons nous faire passer pour des chiites. Certes, les prières et les invocations ont de la valeur mais être chiite est différence de tout cela. Cela implique les sacrifices, la connaissance et la piété.[41]

Imam Hassan al Askari déclare à ce sujet :

« Nos chiites sont ceux qui suivent nos traditions, respectent tous nos commandements et nos interdictions, ceux-là sont réellement nos chiites. Ne sont pas des nôtres ceux qui délaissent les obligations décrétées pas Dieu »[42]

Cette déclaration d’imam Hassan Askar à ceux qui croient que la simple prétention d’appartenance aux chiisme ou exprimer son amour pour la famille du prophète confère déjà à quelqu’un un grand statut et une pace spéciale auprès de Dieu. En fait, l’islam est fondé sur les actions et les vrais chiites sont ceux qui marchent selon un programme d’action, plus particulièrement les actions et comportements économiques. Leur comportement économique doit être calqué la conduite économique des imams infaillibles. Chiisme ou « tasha’you’ » vient de « Moushâya’a » qui veut dire « lever les pas les uns derrière les autres ». Donc, les vrais chiites de la famille du prophète sont ceux qui marchent sur leurs traces.[43]

Elaboré et rédigé par l’équipe éditorialiste du site web de son éminence grand Ayatollah Makarem Shirazi

 


[1] Les lignes de l’économie islamique ; p ;100

[2] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.305

[3] Les lignes de l’économie islamique, p.100

[4] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.381

[5] Message de l’imam Amir al mou’minine, vol.5, p.308

[6] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.349

[7] Ibid, p. 396

[8] Bihar al anwar, vol.53, p. 392 hadith 66, baab 3

[9] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.399

[10] Ibid, p.382

[11] Apparition des confessions, p.132

[12] Ibid, p.133

[13] Moustadrak al wasaa’il, vol.11, p.371, hadith 13293

[14] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.164

[15] La morale islamique dans NAhjoul balâgha, discours Mouttaqiine, vol.3, p.162

[16] Anwaroul hidaayah, ensemble d’essais sur la morale, p.282

[17] Ibid

[18] ibid

[19] La morale islamique dans NAhjoul balâgha, discours Mouttaqiine, vol., p.168

[20] Bihar al anwar, vol.69, p. 407, Mizaanoul hikmah, vol.8, p.138

[21] La morale islamique dans NAhjoul balâgha, discours Mouttaqiine, vol.2, p.169

[22] Ibid

[23] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p.384

[24] Sourate Mohammad: 38

[25] Traduction du saint Coran p. 510

[26] Message de l’imam Amir al mou’minine, vol.12, p.38

[27] Sourate al israa : 29

[28] Message de l’imam Amir al mou’minine, vol.12, p.420

[29] Anwaroul hidaayah, ensemble d’essais sur la morale islamique, p.86

[30] Biharoul anwar, vol.75, p. 317

[31] La morale dans le coran, vol.2, p.391

[32] Ibid

[33] Anwaroul hidaayah, ensemble d’essais sur la morale islamique, p.86

[34] Ibid

[35] Sourate al israa : 29, Tafsir Nemouneh vol.12, p.109

[36] Terminologie dasn tafisir Nemouneh, p.552

[37] Tafsir Nemouneh, vol.12, p.98

[38] Ibid

[39] Ibid

[40] Il t’interroge (ensemble des questions posées au noble prophète sur le saint Coran)

[41] Mashqaat hidayah, pa.42

[42] Ibid

[43] Cent cinquante leçons de la vie, p.86

 


[1] Extrait de tafsir Nemouneh, vol ;1 ; p. 374

[2] Paya-me imam Ali, vol.14, p.645

[3] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p. 158

[4] Ibid, p.257

[5] Paya-me imam Ali, vol.15, p.151

[6] Koliyyat mafâtih novin, p.613

[7] Belle paraboles du saint Coran, vol.1, p.93

[8] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p. 231

[9] Ibid

[10] Ibid

[11] Il t’interroge, collection de questions sur le coran adressées au noble prophète, p. 182

[12] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p. 338

[13] Belles parabole du saint Coran, vol.1, p. 103

[14] Le Coran et le dernier prophète, analyse argumenté et détaillé de la grandeur et du miracle du saint Coran sous différents aspects, p.274

[15] Belles paraboles du saint Coran, vol.1, p. 104

[16] Moustadrak al wasâ’il, vol.11, p. 380, hadith 13308

[17] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p. 339

[18] Paya-me imam Ali, vol.14, p.647

[19] Dâ’iratou ma’arif Fiqh moqârine, vol.2, p. 132

[20] Ibid, vol.2, p. 189

[21] Ibid, p. 487

[22] Ibid, p. 339


Date de diffusion: « 2018/12/3 »
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