Evénements du dixième jour

Evénements du dixième jour


La complainte du matin d’Achoura/Le sermon de l’Imam Hussein (as) le matin d’Achoura/Le sermon poétique de l’Imam Hussein (as) face à l’armée de l’ennemi/Le remords de Hurr ibn Yazid Riyahi/Le début de la confrontation et le martyre d’un groupe de soldat de l’armée de l’Imam Hussein/Les martyrs de la première attaque de la tragédie d’Achoura/Le début du corps à corps et le martyre des compagnons de l’Imam Hussein (as)/La mi-journée d’Achoura et la dernière prière/Le martyre des autres compagnons/Le combat et le martyre de l’Imam Hussein(as)/Les évènements d’après le martyre de l’Imam Hussein (as)/Le pillage des habits et des armes de l’Imam Hussein (as)/Le pillage des tentes/L’incendie des tentes/Le galops des chevaux sur les corps des martyrs/L’expédition de la tête de l’Imam Hussein à Kuffa.‌

Le dixième jour du mois de Muharram (Achoura), est un jour plein d’épopée et inoubliable de l’histoire de l’islam et du chiisme. C’est le jour du sacrifice, de la dévotion et[1] du martyre du chef des martyrs Aba Abdellah Al-Hussein (as) et de ses fidèles compagnons dans la région de Karbala (en l’an 61 A.H.).[2]  

La complainte du matin d’Achoura.

Il est rapporté de l’Imam Ali ibn Hussein (as) que, « Le jour d’Achoura, lorsque l’armée de l’ennemi avait attaqué, l’Imam (as) avait levé ses mains vers le ciel et avait dit à Dieu :[3] « Ô Seigneur, tu es mon soutien dans toute peine, mon espoir dans toute tristesse et malheur, et mon protecteur et mon asile dans toute difficulté… »[4]   

Le sermon de l’Imam Hussein (as) le matin d’Achoura.

Après cela, l’Imam Hussein (as) s’était présenté devant l’armée ennemie, et avait regardé leurs rangs diluviens[5] pendant qu’Omar ibn Sa’ad était debout aux côté des seigneurs de Kuffa, puis il avait dit : « Je rends grâce au Seigneur qui a créé l’univers et a fait de cela la maison de la destruction et de la vanité et qui toujours fait muter ses occupants d’un état à l’autre. Abusé, est celui qui est trompé par ce monde… ».[6]       

Le sermon poétique de l’Imam Hussein (as) face à l’armée de l’ennemi.

Lorsqu’Omar ibn Sa’ad avait agrémenté son armée pour faire la guerre contre l’Imam Hussein (as)[7], et que son armée avait encerclé l’Imam Hussein (as) de tous les côtés et s’approchaient de lui et de ses compagnons à grande enjambé[8], l’Imam (as) s’était mis debout devant l’armée de Kuffa et leur avait dit : « …Ô gens ! Que le malheur et l’affliction soit sur vous pour l’éternité ! Avez-vous sollicité avec autant enthousiasme notre aide pour que nous répondions et venions vous aider et qu’en retour vous dégainez sur nous l’épée que vous avez saisie pour nous aider et que vous attisiez contre nous le feu de la sédition prévue par nos ennemis ?! Est-ce normal que vous tournez le dos à vos amis pour aider l’ennemi sans qu’il n’ait appliqué la justice entre vous et sans qu’il n’ait aucune aspiration pour vous sauf une infime partie de bien illicite et une vie abjecte que vous convoitez et sans que vous n’ayez trouvé en nous le moindre péché et sans que nous ayons tenu des propos illégaux ?... ».[9]        

Le remords de Hurr ibn Yazid Riyahi.

Hurr faisait partir des nobles de Kuffa et était le chef de sa tribu. Ibn Ziyad l’avait mis à la tête de mille hommes et l’avait chargé de la mission de stopper l’Imam Hussein (as). Cependant, le jour d’Achoura, lorsque la décision d’ibn Ziyad de lancer l’assaut était devenu sérieux, son corps s’était mis à frissonner et tout doucement il s’était éclipsé[10] et avait couru vers le campement de l’Imam Hussein (as) où à son arrivée il avait dit : « je suis venu pour me repentir auprès de vous et j’ai décidé de te[11] protéger jusqu’à la mort et de mourir à tes côté. Acceptez-vous ma repentance ?! »[12]

L’Imam (as) avait répondu tendrement, « Oui, Dieu accepte ta repentance et te pardonne également tes péchés. »[13],[14] 

Le début de la confrontation et le martyre d’un groupe de soldat de l’armée de l’Imam Hussein.

Le jour d’Achoura Omar ibn Sa’ad avait armé son arc et l’avait dirigé vers les compagnons de l’Imam Hussein (as) puis avait lancé la flèche ensuite avait dit : « Témoignez tous auprès de l’émir Obaidullah ibn Ziyad que je étais le premier à avoir lancé la flèche vers eux ! » Après, ses soldats tirèrent aussi leurs flèches vers l’armée de l’Imam Hussein (as).[15]

A la suite, les compagnons de l’Imam (as) vaillamment avaient engagé le combat avec l’ennemi et avaient combattu une partie de la journée jusqu’à ce qu’un groupe parmi eux tombent en martyrs.[16]

Les martyrs du premier assaut de la tragédie d’Achoura.

Les historiens ont répertorié jusqu’à quarante le nombre de martyrs du premier assaut de la tragédie d’Achoura. Dans le livre "Mana’qeb" d’ibn Chahr Achoub, vingt-huit personnes sont mentionnés.[17]

C’étaient des compagnons dévoués et fidèles qui considéraient la défense et la protection de l’Imam Hussein (as) ainsi que de la famille du prophète (sawa) comme leur devoir. Ils s’étaient lancés sur cette voie avec la pleine connaissance des risques et des dangers qu’ils allaient trouver sur leur chemin. [18],[19] 

Le début du corps à corps et le martyre des compagnons de l’Imam Hussein (as).

Le reste des soldats s’étaient lancés sur le champ de bataille un à un et tombaient en martyr après avoir bataillé de toute leur force. L’une des figure de la tragédie de Karbala était Bureir ibn Hadhir Hamdani’. C’était un ermite, un ascète, un audacieux et l’un des compagnons de l’Imam Ali (as). C’était un grand lecteur de Kuffa qui s’asseyait dans la mosquée de Kuffa et enseignait le coran aux autres[20]. Burair, le jour d’Achoura avait lancé l’assaut seul contre l’armée de l’ennemi, et pendant qu’il était assis sur la poitrine de l’un des soldats de l’ennemi et voulait le tuer, un autre l’avait enfoncé sa lance dans le dos, et il était ainsi tombé en martyr.[21]

Amr ibn Hajaj qui était dans les rangs d’ibn Sa’ad, avait lancé l’assaut sur le flanc droite de l’armée de l’Imam (as) qui était sous le commandement de Zahyr ibn Qain. Muslim ibn Awsjeh était présent dans ce combat sévère[22]. Lorsque la pression de la bataille avait diminué, ses compagnons l’avaient trouvé le corps saignant, allongé sur le sol. L’Imam Hussein ibn Ali (as) accompagné d’Habib ibn Muzaher était venu à son chevet.[23]

Ou Zahyr qui s’était lancé sur le champ de bataille et avait combattu remarquablement[24], jusqu’au moment où à cause de nombreuses blessures, s’était effondré et était mort en martyr[25].

La guerre avait continué. Les soldats de l’Imam Hussein (as) tombaient en martyr à tour de rôle et à tous les égards, leur absence se faisait ressentir. Ce qui n’était pas le cas du côté de l’ennemi au vu de leur effectif élevé.

Ces évènement s’étaient poursuivis jusqu’à la mi-journée du jour d’Achoura. Et c’était aux environs de midi, qu’Habib ibn Muzaher, à qui l’Imam (as) avait accordé l’honneur de commandé le flanc gauche de l’armée, était mort en martyr.[26]          

La mi-journée d’Achoura et la dernière prière.

A l’heure de la prière de midi, l’Imam (as) sans prendre en compte les tirs de l’ennemi, s’était mis debout pour la prière. Amr ibn Qurzah accompagné de quelques compagnons de l’Imam (as) s’était placé devant l’Imam et ils avaient formé un mur de bouclier avec leur poitrine afin de protéger l’Imam pendant sa prière. Plusieurs tirs avaient touché Amr sur sa tête et sur sa poitrine et il s’était effondré avec Said ibn Abdullah au même moment. Et à ce moment, il avait dit à l’Imam Hussein (as) : « Ô fils du Messager de Dieu, ai-je respecté mon pacte ?! »[27]

L’Imam (as) avait répondu : « Oui, tu as accompli ton devoir. Tu seras avant moi au paradis, transmets au Messager de Dieu mes salutations[28], et dis-lui que je suis en train de venir ».[29] Amr s’était réjoui après avoir écouté ce merveilleux message puis avait fermé ses yeux et était mort en martyr. [30],[31]     

Le martyre des autres compagnons.

Après la prière, les compagnons de l’Imam Hussein (as) avaient trouvé un nouvel esprit de guerrier et avaient chargé vers l’ennemi. Tous les compagnons de l’Imam (as) entre autres les jeunes prolifiques de la tribu de Hachim, les frères, les neveux, les nièces, et les cousins de l’Imam, s’étaient lancés dans la bataille et le jihad et étaient tous tombé en martyr sous l’épée de l’ennemi. La bataille courageuse des compagnons de l’Imam Hussein (as)   comme Zahyr ibn Qain, Nafi’ ibn Haal, Muslim ibn Awsjeh, Habib ibn Muzaher, Hurr ibn Yazid et celle des jeunes hommes lions de la tribu de Hachim comme Ali le grand (as), Abass ibn Ali (as), Qasim ibn Hussein (as) et Abdullah ibn Muslim (as), sont mémorables et inoubliables. La bataille de chacun d’eux avait suscité des frisons au sein des bataillons de l’armée du démon et leur martyre avait créé en l’Imam Hussein (as) un effet fragilisant. Dans l’intervalle, l’Imam Hussein (as) avait lancé un regard sur ce peuple, ensuite avait regardé à gauche et à droite et n’avait vu aucun de ses compagnons sauf ceux qui avaient le front rongé par la terre et qu’on entendait aucun son d’eux. Puis, l’Imam (as) avait crié :[32]

« Ô Muslim ibn Aqil ! Ô Haani ibn Arouh ! Ô Habib ibn Muzaher ! Ô Zahir ibn Qain ! Ô Yazid ibn Muzaher ! Ô Yahya ibn Kathir ! Ô Halaal ibn Nafi’ ! Ô Ibrahim ibn Huçin ! Ô Omair ibn Mataa’ ! Ô Asad Kolabi ! Ô Abdullah ibn Aqil ! Ô Muslim ibn Awsjeh ! Ô Daoud ibn Taram’mah ! Ô Hurr Riyahi ! Ô Ali ibn Hussein ! Ô courageux hommes purs ! Ô cavaliers du champ de bataille ! Que se passe-t-il pour que je vous appelle et que vous ne me répondez pas ? Pour que je vous appelle et que vous ne m’entendez plus ? Êtes-vous en train de dormi pour que j’aspire à votre réveil ? Ou n’aimiez plus votre Imam pour l’assister ?... ».[33]       

Le combat et le martyre de l’Imam Hussein (as).

En ces instants sensibles, l’Imam Hussein (as) apprêta son seul fils qui lui restait l’Imam Sajjad (as), à accepter la grande responsabilité de faire fructifier l’arbre de la prospérité qui avait été semé à Karbala et avait été irrigué et arrosé avec le sang de ses compagnons. Il l’avait transmis les dernières consignes et avait demandé à ses sœurs et à ses filles de l’obéir.[34]

Lorsque l’Imam Hussein (as) voulait se rendre sur le champ de bataille, il avait dit : « Apportez-moi un vieux habit que personne ne désire afin que je le porte sous mes vêtements pour qu’ils ne me dénudent pas après que je sois tombé en martyr. Car, je sais qu’après mon martyre, mes vêtements me seront enlevés ».[35]

On découvert dans les livres d’histoire que, « Lorsque l’Imam Hussein (as) avait regardé ses soixante-douze compagnons étendus sur le sol et noyés dans leurs sangs, il s’était dirigé vers la tente et avait crié : Ô Sakinah ! Ô Fatimah ! Ô Zainab ! Ô Ummou Koulthoum ! Au revoir, je m’en vais également ! »[36]

Puis, l’Imam (as) était monté sur son cheval et s’était mis à avancer vers l’ennemi[37]. L’Imam (as) était arrivé sur le champ de bataille et avait demandé à l’ennemi d’attaquer. Chaque combattant ennemi qui avait attaqué s’était agenouillé. Il avait abattu un grand nombre de soldat de l’armée ennemi.[38] L’Imam Hussein (as) comme un lion furieux avait chargé sur eux et abattait avec son épée tous ceux qu’il trouvait sur son chemin. Et pendant ce temps, les flèches pleuvaient de tous les côtés sur son corps.[39]    

L’Imam Hussein (as) s’était battu au point d’avoir les blessures sur tout son corps. [40],[41] Dans un récit, il est dit : « Lorsque les ennemis avaient lancé leurs flèches sur l’Imam, et qu’une flèche l’avait atteint à la gorge, il avait dit : " Au Nom de Dieu le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux. Il n’y a aucune force si cela n’est de Dieu ! Ce sacrifice est pour la satisfaction de Dieu ! »[42]

L’Imam Hussein (as) s’était épuisée et lorsqu’il avait voulu soufflé un peu, une pierre l’avait atteint sur le front et il s’était mis à saigner. Alors qu’il avait soulevé le pan de son habit pour nettoyer le sang sur son visage, un tir empoisonné de trois sections l’avait atteint sur la poitrine.[43]

Dans l’intervalle, Chimr ibn Dhil-Juchin était monté sur la poitrine de l’Imam (as) et avait attrapé sa barbe et quand il avait voulu tuer l’Imam, ce dernier avait souri et avait dit : "Vas-tu me tuer alors que tu connais qui suis-je ?" Chimr avait dit : "Oui, je te connais très bien, ta mère c’est Fatimah Zahra (as), ton père c’est Ali (as) et ton grand-père c’est Mohammad Mustapha (sawa). Je vais te tuer et je n’ai aucune crainte !!" Ensuite il avait tranché la noble tête de l’Imam Hussein (as) avec douze coups d’épée. [44],[45]

Que la miséricorde infinie de Dieu soit sur lui ainsi que sur ses compagnons qui avaient tout donné et avaient dévoilé le visage des ennemis de l’islam et avaient fait couler un sang nouveau dans les veines des musulmans et à la suite de cela, les soulèvements contre les Bani Omayyades les déchets de l’époque du paganisme arabe, avaient débuté et pour finir la racine de cet arbre ignoble avait été arrachée du monde musulman.[46]          

Les incidents après le martyre de l’Imam Hussein (as).

Les ennemis des Ahl-ul-Bayt (as) après le martyre affligeant de l’Imam Hussein (as) et de ses compagnons, n’avaient pas arrêté ses crimes. Ils avaient commis d’autres crimes en ce jour de tristesse.[47]

Le pillage des habits et des armes de l’Imam Hussein (as).

L’armée d’ibn Sa’ad, après le martyre de l’Imam Hussein (as) s’était précipitée pour piller les habits et les armes de l’Imam Hussein (as). Certains étaient si abjectes et ignobles qu’ils s’étaient livrés à cette activité même avait le martyre de l’Imam Hussein (as).[48]

Le pillage des tentes.

L’armée infâme de Kuffa par ordre de Chimr avait assiégé les tentes. Chimr avait ordonné qu’ils entrent dans les tentes et de piller tout ce qu’ils allaient trouver.[49]

Aussi, Chimr accompagné d’un groupe de fantassin s’était dirigé vers la tente de l’Imam Ali ibn Al-Hussein (as). L’Imam (as) était cloué sur le lit à cause de la gravité de la maladie. Les compagnons de Chimr avaient dit : "N’allons-nous pas tuer ce malade ?" Hamid ibn Muslim, le rédacteur de l’évènement du jour d’Achoura, avait dit : "Gloire à Dieu ! Est-ce qu’un jeune malade doit aussi être tué ?! La maladie suffit". Ensuite il avait insisté pour les empêcher de tuer l’Imam Sajjad (as). [50],[51]

L’incendie des tentes.

Parmi les évènements les plus bouleversant de la soirée d’Achoura, il y’avait l’incendie des tentes des gens de la famille du Messager de Dieu (sawa). Cette scène affligeant s’était produite dans des circonstances où le corps déchiqueté de l’Imam des opprimés et de ses compagnons dévoués étaient encore abandonnés dans le désert. Avant cela, les tentes avaient été pillées et les habits ainsi que les parures des femmes pieuses de la tribu d’Hachim avaient été raflés. Tout ça, c’était pendant que le soleil qui était témoin de l’évènement le plus dramatique de l’histoire, se précipitait à toute vitesse vers le couchant pour laisser place à la nuit. Dans de telles conditions déplorables où le chagrin avait envahi la descendance du Messager de Dieu, les ennemis avaient attaqué avec les flammes les tentes de ces femmes endeuillées dans l’intention de les incendier.[52]        

La galopade des chevaux sur les corps des martyrs.

Identique à l’ordre qu’ibn Ziyad avait envoyé, ibn Sa’ad était chargé de faire passer le corps de l’Imam Hussein (as) sous les sabots des chevaux. Ibn Sa’ad qui était prêt à commettre toutes sortes de crime pour se rapprocher d’Ibn Ziyad afin d’obtenir le trône de Rey, avait crié parmi ses compagnons : « Qui est volontaire pour faire galoper son cheval sur le corps de Hussein et piétiner sa poitrine et son dos avec les sabots du cheval !? »[53],[54] 

Chimr qui avait une cruauté extraordinaire, en écoutant cet ordre, avait pris les devants et avait galopé sur le corps du fils de la dame Zahra (as). Dix personnes l’avaient suivi dans cet exercice diabolique et satanique.[55]  

L’expédition de la tête de l’Imam Hussein à Kuffa.

Pour faire parvenir rapidement la nouvelle de sa précaire victoire à ibn Ziyad, Ibn Sa’ad avait expédié la tête de l’Imam Hussein l’après-midi de ce jour-même à travers Khrouli ibn Yazid et Hamid ibn Muslim.[56]

 


[1] Généralité Mafatih Nowin, p. 599.

[2] Généralité Mafatih Nowin, p. 600.

[3] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 411.

[4] Irchad Mufid, p. 447-488 ; Tariku Tabary, vol. 4, p. 321 (avec une légère différence) et Biharul-Anwar, vol. 45, p. 4.  

[5] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 411.

[6] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 412.

[7] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 420.

[8] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 420.

[9] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 420.

[10] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 439.

[11] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 439.

[12] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 440.

[13] Kaamilu ibn Athiir, vol. 4, p. 64.

[14] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 440.

[15] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 428.

[16] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 429.

[17] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 430.

[18] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 434.

[19] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 435.

[20] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 442.

[21] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 443.

[22] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 444.

[23] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 444.

[24] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 451.

[25] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 454.

[26] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 454.

[27] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 456.

[28] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 456.

[29] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 457.

[30] Se référer à : Mal’houf (Lahouf), p. 162 ; Tariku Tabary, vol. 4, p. 330 ; Abçarul-Ayin, p. 92 et Biharul-Anwar, vol. 45, p. 22.

[31] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 457.

[32] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 500.

[33] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 501.

[34] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 505.

[35] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 506.

[36] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 507.

[37] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 514.

[38] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 520.

[39] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 523.

[40] Maqtulul-Hussein Khrorazmi, vol. 4, p. 34 et Biharul-Anwar, vol. 45, p. 51-52.

[41] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 524.

[42] Manaqeb ibn Char A’choub, vol.4, p. 120.

[43] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 525.

[44] Biharul-Anwar, vol.45, p. 56.

[45] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 532.

[46] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 533.

[47] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 533.

[48] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 535.

[49] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 537.

[50] Irchad Mufid, p. 468 et Biharul-Anwar, vol.45, p. 61.

[51] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 539.

[52] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 540.

[53] Maqtalul-Hussein Muqarram, p. 302.

[54] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 542.

[55] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 542.

[56] Achoura, ses racines, ses motivations, ses évènements et ses conséquences, p. 543.

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